AUTEUR(S)-RÉALISATEUR(S)
AUTEUR(S)
IMAGE
SON
MONTAGE
PRODUCTION / DIFFUSION
Je suis bien content productions (jsbc), ARTE France
PARTICIPATION
Angoa-Agicoa, CNC, CRRAV, Procirep, Région Nord-Pas-de-Calais
ORGANISME(S) DÉTENTEUR(S) ou DÉPOSITAIRE(S)
Je suis bien content productions (jsbc), Agence du court métrage
ISAN : ISAN 0000-0002-F387-0000-J-0000-0000-H
COMMENT VISIONNER CE FILM ?
Distributeur(s) :
Je suis bien content productions (jsbc), Agence du court métrage
L’Agence du court métrage, association régie par la loi de 1901 et fondée en 1983, est née de la volonté de nombreux professionels (réalisateurs, producteurs, distributeurs, exploitants) de promouvoir et développer la diffusion des films courts.
France | 2007 | 17 minutes | Vidéo
Un film de Sandrine Stoïanov
DOKU-ANIMATION Sandrine et Irène, deux femmes d'origine russe, qui se connaissent à peine malgré leurs liens familiaux et qu'un demi-siècle sépare, échangent leurs souvenirs devant une tasse de thé et des liasses de photos anciennes. Sandrine, jeune fille fantasque à qui, quand elle était petite, on disait qu'elle aurait pu être une princesse russe, que de surcroît elle en avait le physique et le caractère, a grandi en passant son temps à recomposer dans ses jeux d'enfant le monde d'une Russie de conte de fées, à se réfugier dans un passé imaginaire afin de s'évader d'une situation familiale morcelée dans laquelle elle n'arrivait pas à trouver ses repères. Aujourd'hui, toujours en quête de ses racines, elle interroge sa tante Irène sur son enfance. Celle-ci issue de la noblesse russe, a vécu sur place la chute du régime, un quotidien douloureux, marqué par l'absence d'un père exilé et le décès prématuré de sa mère, avant de pouvoir quitter sa famille d'adoption, qui ne l'aimait pas, et enfin rejoindre son père en France. Tandis que la vieille femme se confie et parle de son père, le grand-père de Sandrine, cette dernière part à nouveau dans les rêveries éveillées que lui évoquent les paroles de son aînée, et nous fait apparaître les personnages d'Irinka et de Sandrinka, projections imaginaires des fillettes qu'elles ont pu être