AUTEUR(S)-RÉALISATEUR(S)
IMAGE
SON
MONTAGE
PRODUCTION / DIFFUSION
Crescendo Media Films, France Télévisions
PARTICIPATION
Procirep, Angoa-Agicoa, CNC. COSIP
ORGANISME(S) DÉTENTEUR(S) ou DÉPOSITAIRE(S)
Crescendo Media Films, ADAV, La Maison du doc
ISAN : ISAN 0000-0004-07C9-0000-A-0000-0000-7
COMMENT VISIONNER CE FILM ?
Distributeur(s) :
Vidéothèque permanente, gérée par la Maison du documentaire, accessible sur place ou à distance et réservée exclusivement aux professionnels de l’audiovisuel.
En savoir plusFilm disponible à l'Adav, catalogue réservé aux établissements éducatifs et culturels.
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France | 2015 | 52 minutes | HDCam
Un film de Marc Planeilles
Ouvert en 1955 à l’initiative du général de Gaulle, le Centre d’Etudes Atomiques de Vaujours a contribué activement à la création de la bombe atomique française. En 1997, Jacques Chirac ferme ce site situé à seulement 15 kilomètres de Paris.
Aujourd’hui à l’abandon, ce lieu se trouve confronté à de nombreuses pollutions chimiques et radioactives. Malgré ces inquiétudes environnementales, la société Placoplatre envisage d’ouvrir une carrière à ciel ouvert pour exploiter le gypse, risquant de remettre en suspension des particules nocives.
Comment, à l’époque, l’Etat et les responsables scientifiques du site, appelés "Kamikazes de Vaujours", ont-ils pu envisager d’expérimenter les effets de la bombe atomique aussi près de Paris ?
Open in 1955 at the initiative of the General de Gaulle, the site has actively contributed to atomic bomb’s creation. In 1997, Jacques Chirac closed this site located only 15 kilometres from Paris.
Today abandoned, the place generates much chemical and radioactive pollution. Despite environmental concerns, the company Placoplatre plans to set up an open sky quarry which risks to spread radioactive particles.
How, at that time, the State and the scientists in charge of the site, called "Suicide bombers of Vaujours", could have considered to experiment the effects of the atomic bomb that close to Paris?
And also, how can we still today plan an exploitation of this high sanitary risk site?